Enfin !
Naïvement, je pensais que le plus dur était l’écriture de mon livre.
Pour cela j’ai travaillé d’arrache pieds, me levant tous les jours à 5h de matin pour écrire, avant le lever des enfants. Puis j’enchaînais ma journée de travail.
Le plus dur était de ne pas penser à mon livre durant mes heures de travail, ne pas impacter ma concentration.
Et quelle fierté une fois la dernière ligne écrite.
Pourtant démarrait alors une nouvelle phase dans la gestation de mon livre.
Edition ou auto-édition
Néophyte comme je l’étais, je ne connaissais même pas de quoi il était question.
J’ai eu la chance d’être abordée par une maison d’édition qui incluait la correction, la diffusion. Donc tout semblait facile. Mais finalement, nous avons eu un désaccord. J’ai du recommencer ma réflexion de zéro.
Je me suis donc lancéee dans l’auto-édition. Mais il fallait passer la phase de la correction. Et là, de nouveau, c’était un gros travail. Car, moi-même je ne pouvais pas corriger. Je ne voyais plus rien du tout.
Promotion
En parallèle, il faut réfléchir à la promotion. Car personne ne m’attend, ni n’attend mon livre.
Pour moi, tout ce monde est inconnu. En plus, en choisissant l’auto-édition, je dois faire la promotion moi-même, donc via Internet, vaste monde obscur pour moi.
Et pourtant me voici !
Lancement de l'impression
La phase de relecture est terminée, et j’envoie mon manuscrit pour impression aujourd’hui même.
Voici en exclusivité le projet de couverture !

Quelle joie et fierté que je partage avec vous.
Résiliencement vôtre !